Une main tenant un smartphone affichant des miniatures floues de vidéos en ligne, illustrant la navigation sur un site adulte.

“Raphaël Mahaim (Les Verts/VD) est en train de concocter une initiative parlementaire pour contraindre les auteurs de deepfakes et les plateformes de diffusion – comme TikTok ou Facebook – à identifier clairement ces contenus fallacieux. En gros, il faudrait leur apposer une mention explicite «généré par l’IA». La règle ne concernerait cependant que les deepfakes présentant un caractère trompeur ou attentatoire à la personnalité, diffusés en dehors de la sphère privée. La mention ne serait, par exemple, pas nécessaire dans le cas d’un deepfake partagé à son conjoint ou d’une photo dont on aurait seulement changé la couleur du paysage.”

Source : Deepfakes: jusqu’à 100 000 francs d’amende en Suisse à l’étude | 24 heures