Auteur/autrice : noflux (Page 123 of 621)

«Pour Niall Ferguson, la période actuelle s’apparente à la Réforme, dont on vient de célébrer les 500 ans. Sans la révolution technologique de Gutenberg, le message de Luther n’aurait pas porté au-delà de quelques paroisses germaniques. En accélérant la diffusion des idées, l’invention de l’imprimerie a entraîné une polarisation de la société qui a conduit à la chasse aux « hérétiques » et aux guerres de religion. « La violence verbale est souvent le prélude à la violence réelle, souligne-t-il. Je ne vois pas dans l’histoire d’exemple où la polarisation atteigne une sorte de point d’équilibre. ». Pour l’historien, les monopoles actuels dans les technologies renforcent dangereusement les divisions sociales. « Nous devrions être plus inquiets que nous le sommes », dit-il. On est loin de ­l’Internet pacifique des visionnaires comme John Perry Barlow».

Source : « On est loin de ­l’Internet pacifique des visionnaires comme John Perry Barlow »

Et bien voilà à quoi sert la blockchain : la propriété des ayants droit…

«Pour les équipes du film, la technologie blockchain, transparente et sécurisée, est une possible manière de mieux lutter contre les copies pirates, hantise de tous les studios de production. « Nous pouvons désormais imaginer un monde dans lequel les films ne seraient plus piratés  », explique, via un communiqué, Jeremy Culver, producteur, scénariste et réalisateur de No Postage Necessary. En pratique, Vevue fonctionne sur un système de token qui permet, après une transaction proposée par un paywall, de créer un lien de pair à pair avec le producteur possédant le film et l’utilisateur souhaitant le voir. D’après le site, cela permet également de garantir le copyright de la vidéo, toujours attribué au producteur.

Source : Pour la première fois, un long métrage va être distribué par… blockchain – Pop culture – Numerama

«Pour prouver que le vendeur, M. Y, avait connaissance du vice caché, ils produisent un constat d’huissier opéré le 24 février 2016 sur Internet. Celui-ci montre que le 30 janvier 2015, M. Y avait publié le message suivant sur son compte Facebook :  « Et voilà, 20 cm d’eau dans la cave… la galère encore ».La cour juge que « ce message atteste non seulement de l’antériorité à la vente des inondations du sous-sol et de la gravité du vice, s’agissant d’un problème récurrent, mais aussi du fait que les vendeurs en avaient connaissance, alors même qu’ils déclaraient le contraire dans leur acte de vente ». Elle juge que les vendeurs doivent indemniser le préjudice des acquéreurs».

Source : Le vendeur de mauvaise foi est trahi par son compte Facebook | SOS conso

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