«Pour une raison que j’ignore, peut-être à cause des élections de mi-mandats, on parle beaucoup de Facebook et Cambridge Analytica, alors que ce ne sont pas les premières violations de la sphère privée. L’information par le bais des réseaux sociaux n’est traditionnellement pas objective, mais elle est ciblée comme la publicité. Le grand public, et les politiciens, semblent le découvrir, mais cela n’est pas non plus nouveau. Quoiqu’il en soit tant mieux s’il y a enfin une prise de conscience, mais ce ne sont pas quelques promesses et critiques devant le Congrès américain qui suffiront à rétablir la confiance et respecter l’individu. Des mesures plus profondes sont nécessaires au niveau législatif» -Sylvain Métille.
Source : Scandale Facebook: «La Suisse n’est pas prête!» | Lausanne Cités