“L’établissement a déposé plainte pour ces deux fausses alertes. Une réquisition judiciaire a été envoyée dès jeudi en urgence auprès de la plateforme d’où étaient issus les courriels malveillants. Les deux adresses employées ont été créées juste avant l’envoi des messages. L’auteur a utilisé un VPN pour s’anonymiser. Malgré cela, les enquêteurs ont pu retrouver la trace d’une adresse IP après analyse. Celle-ci les a menés à une adresse à Triel-sur-Seine (Yvelines). L’interpellation a eu lieu le jour même.”