“Un papier du coordinateur de l’antiterrorisme européen, publié en mai, suggérait la création d’une « front-door », par opposition à une « backdoor » qui elle « affaiblirait le chiffrement » et ne serait pas une « option désirable ». Ce jeu sur les mots expose les contradictions internes auxquelles se confronte l’UE : la « front-door » ne serait ni plus ni moins qu’une « backdoor » connue, mise en place avec le consentement des entreprises concernées.”
Source : Les criminels qui utilisent WhatsApp ou Signal peuvent-ils vraiment être surveillés ? – Cyberguerre