Monsieur Facebook, laissé nou corrigé les fotes | Rézonances
Ce débat est intéressant, car il questionne les traces. Lorsque le journal était imprimé, la question ne se posait pas, car elle n’avait pas de réponse. À présent, il est possible de modifier un texte a posteriori. C’est une possibilité technique. Cela ne suppose pas pour autant de ne pas réfléchir à sa portée sociale. Ne pas changer le texte peut être un choix : celui d’assumer ce qui a été dit ! C’est difficile, mais c’est ce que de nombreuses personnes auront lu. Parfois, elles auront réagi. Si le texte est changé, on change un passé sans laisser de trace de ce changement. C’est un problème plus important, il me semble, que de culpabiliser pour une faute d’orthographe !!!