Étiquette : surveillance (Page 14 of 18)

On dit toujours qu’il est difficile d’auditer des algorithmes parce qu’ils sont protégés par le secret et qu’ils sont compliqués… Mais quand on met à charge la personne qui utilise les algorithmes, c’est à elle qu’incombe la charge de la preuve pour montrer que sa décision n’est pas discriminatoire, par exemple.
Cela risque d’être assez dissuasif : par exemple, les employeurs qui s’appuient sur un algorithme pour embaucher vont y réfléchir à deux fois. Ils vont devoir faire appel à des ingénieurs, et ces derniers devront ouvrir la boîte noire pour l’expliquer…

Source : « Au moins, dans un système totalitaire, on sait à quoi on a affaire » – Rue89 – L’Obs

La spécificité des RG, le maillage du territoire, a été amoindrie. Or les RG s’occupaient déjà beaucoup moins des journalistes et des syndicalistes, et ils étaient à l’écoute des quartiers à problèmes. C’est une perte.
En outre, on a voulu miser sur le renseignement technologique, à l’américaine, le « big data » et toutes ces choses-là. Or ce n’est pas très efficace. Il suffit de voir aux États-Unis, les déclarations du général Alexander, patron de la NSA, en 2013, sur l’efficacité très relative des milliards dépensés dans la technologie après le 11 septembre 2001.

Source : Un ex-directeur de la DGSE: «On a baissé la garde sur le renseignement humain» – Page 1 | Mediapart

The case for expanded surveillance of communications, however, is complicated by an analysis of recent terrorist attacks. The Intercept has reviewed 10 high-profile jihadi attacks carried out in Western countries between 2013 and 2015 (see below), and in each case some or all of the perpetrators were already known to the authorities before they executed their plot. In other words, most of the terrorists involved were not ghost operatives who sprang from nowhere to commit their crimes.

Source : From Paris to Boston, Terrorists Were Already Known to Authorities

L’une des principales mesures — et l’une des plus controversées — donnera accès à la police à un historique simplifié de toute la navigation Internet d’un internaute, sur simple demande auprès des fournisseurs d’accès. Contrairement à ce que croyait savoir la presse britannique, mercredi matin, cette demande se fera sans mandat, et donc sans le contrôle d’un juge, comme c’est le cas dans tous les pays européens et aux Etats-Unis. Les fournisseurs d’accès seront tenus de conserver toutes les données de connexion durant douze mois.

Source : Le gouvernement britannique présente un gigantesque projet de loi sur la surveillance

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