Étiquette : press (Page 1 of 4)

US newspapers are deleting old crime stories, offering subjects a ‘clean slate’

 

https://i.guim.co.uk/img/media/f69e89c4525adb819db183d45ed72959d25f0b86/0_0_5760_3840/master/5760.jpg?width=1900&dpr=2&s=none&crop=none

“Civil rights advocates across the US have long fought to free people from their criminal records, with campaigns to expunge old cases and keep people’s past arrests private when they apply for jobs and housing.The efforts are critical, as more than 70 million Americans have prior convictions or arrests – roughly one in three adults. But the policies haven’t addressed one of the most damaging ways past run-ins with police can derail people’s lives: old media coverage. Some newsrooms are working to fill that gap. A handful of local newspapers across the US have in recent years launched programs to review their archives and consider requests to remove names or delete old stories to protect the privacy of subjects involved in minor crimes.”

Source : US newspapers are deleting old crime stories, offering subjects a ‘clean slate’ | US news | The Guardian

Disclose déplore la (cyber)surveillance hors norme d’une journaliste par la DGSI

Affichage de l'image en full screen

“Quinze mois après sa garde à vue de 39 heures et la perquisition de son domicile par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), la journaliste Ariane Lavrilleux de l’ONG Disclose est convoquée, vendredi 17 janvier 2025, en vue d’une possible mise en examen pour « appropriation et divulgation d’un secret de la défense nationale ».Elle avait contribué, avec trois autres journalistes, à révéler en 2021 qu’une opération militaire secrète menée par la France en Égypte, baptisée « opération Sirli », avait « conduit à l’exécution arbitraire de centaines de civils égyptiens, le tout sur fond de vente d’armes ». La journaliste encourt une peine de cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende.”

Source : Disclose déplore la (cyber)surveillance hors norme d’une journaliste par la DGSI – Next

An update on Canada’s Bill C-18 and our Search and News products – Google Public Policy

“We have now informed the Government that when the law takes effect, we unfortunately will have to remove links to Canadian news from our Search, News and Discover products in Canada, and that C-18 will also make it untenable for us to continue offering our Google News Showcase product in Canada. We’re disappointed it has come to this. We don’t take this decision or its impacts lightly and believe it’s important to be transparent with Canadian publishers and our users as early as possible.”

Source : An update on Canada’s Bill C-18 and our Search and News products

“The UK launch in January will build on the success Facebook News has seen in the US, where we’ve found more than 95% of the traffic Facebook News delivers to publishers is new audiences that have not interacted with those news outlets in the past. Facebook is committed to supporting news organisations as they adapt to the changing digital world, and we are delighted to have so many partners working with us at this early stage. We’re in active negotiations to bring Facebook News to France and Germany as well, and we will continue to work with publishers in countries where market conditions and regulatory environments invite this kind of investment and innovation.”

Source : Stepping Up Our Investment in News in the UK – About Facebook

Collaged illustration of reporter selling work from homemade stand

“it’s simply more fun to communicate with potentially millions of readers as opposed to a few thousand paying customers. And when Covid fades, there will be newsroom culture once more, with all its exhilirating intrigues and distractions. Nonetheless, the Substack model has a future. It is perfect for enterprising reporters—ambitious newcomers, disgruntled mid-termers, and post-buyout veterans—to pick an unfilled niche that serves the obsessions or business needs of small groups of people with some cash to spend.”

Source : The Tenuous Promise of the Substack Dream | WIRED

“Le numérique polluerait ainsi « cinq fois plus que l’ensemble du parc automobile français » selon plusieurs média (Le Point, Geo, France Bleu). D’autres affirment qu’il « consomme 5 fois plus de ressource que le parc automobile mondial » (France Info, Futura Science…). Pour le prouver, ils se basent sur l’excellente étude GreenIT. Mais autant le dire tout de suite, ces médias ne l’ont pas lue avant de la relayer. Car ce que dit cette étude, c’est que l’ensemble des équipements qui constituent le numérique mondial pèse autant, en kilogrammes, que 5 fois le parc automobile mondial. Ce chiffre permet de se rendre compte qu’Internet, qu’on imagine souvent « dématérialisé » est en fait constitué de matériel bien réel, et bien encombrant. Mais ce chiffre ne dit rien de la pollution, ni la consommation de ressources du numérique. Et puis, de quelle pollution parlerait-on ? Et de quelles ressources ? Il s’agirait alors de le préciser.
Si prompts à vouloir décrier le numérique et ses usages, les commentateurs oublient donc de lire les études, mais ils oublient aussi leur esprit critique au moment de faire des comparaisons.”

Lien vers l’étude complète : Empreinte environnementale du numérique mondial

Source : Écologie : arrêtons de faire du numérique un bouc-émissaire

“Le parlement européen a voté la directive au printemps, le parlement français l’a transposée en droit français à la quasi-unanimité cet été. Pourtant ce texte tant attendu risque d’être vidé de toute portée avant même sa mise en œuvre. Et cela pourrait s’étendre à toute l’Europe.Refusant toute négociation, Google a offert aux medias un cynique choix de dupes.
Soit ils signent un blanc-seing à Google en renonçant à rémunération, et le modèle actuel à base de gratuité perdure. C’est la mort lente, qui a commencé de vider les salles de rédaction en Europe comme aux Etats-Unis.
Soit ils refusent, continuant d’espérer une rémunération. Et on leur promet de redoutables représailles : la visibilité de leurs contenus sera réduite à sa plus simple expression. Plus de photo, plus de textes, un bout de titre, rien de plus, apparaîtra quand les internautes feront des recherches sur une information.
Un suicide pour la presse. Car avant d’arriver sur un site de media, la porte d’entrée des internautes c’est Google. Les autres moteurs de recherche pèsent trop peu. Les éditeurs le savent : ils n’ont pas les moyens financiers de supporter la chute vertigineuse de trafic sur leurs sites que cette mesure entrainera.
Google bafoue la loi. Il en exploite les subtilités en détournant son esprit.”

Source : Open letter – October 2019

“Cela sonne comme une déclaration de guerre, aux yeux du secteur des médias et des politiques français. Google ne veut pas payer pour le droit voisin créé pour la presse par la directive européenne sur le droit d’auteur, adoptée le 26 mars. Alors que la France a été le premier pays à transposer ce texte, dès le 23 juillet, le leader de la recherche en ligne a annoncé, mercredi 25 septembre, qu’il changeait les règles d’affichage de ses services : par défaut, les pages ne montreront désormais plus d’extraits d’articles ou de photos miniatures, mais seulement les titres et les liens (adresse URL), sauf si les éditeurs donnent leur autorisation. La mesure sera effective « quand la loi entrera en vigueur », à savoir dans les prochaines semaines. Google Actualités est concerné, mais aussi le moteur Google.fr, pour les recherches « liées à l’actualité ». ”

Source : Droits d’auteur de la presse : Google engage un bras de fer

Mohammed ben Salmane

“Pour dénicher les véritables artisans de ce coup d’éclat orchestré à l’encontre de Jeff Bezos, ce dernier engage son enquêteur privé Gavin de Becker, dont les collaborations multiples avec le FBI, la CIA ou le gouvernement Reagan font de lui un expert en la matière. Et l’intéressé, après plusieurs mois de travail, a publié le fruit de son enquête : selon lui, Riyad tire bel et bien les ficelles de cette affaire, malgré les démentis du National Enquirer.”

Source : Jeff Bezos victime d’une cyberattaque : les petites manœuvres de l’Arabie Saoudite mises en lumière par une enquête approfondie – Cyberguerre

GELT 2015-2018

“The map  takes the more than 6.6 billion location mentions across the 850 million worldwide news articles monitored by GDELT 2015-2018, snaps them to a 0.001 degree grid and then visualizes the final dataset. Locations are not sized by the number of mentions they receive, meaning a major metropolis mentioned tens of millions of times will still only appear as a single small dot in the image below. Due to artifacts of the rasterization pipeline you will see a few areas of the map below with rectangular artifacting – those are technical issues, rather than meaningful geographic patterns”

Source : Mapping The Geography Of GDELT: 2015-2018 – The GDELT Project

« Older posts

© 2025 no-Flux

Theme by Anders NorenUp ↑