“Those who are banned on Twitter, for example, can set up the same day with a new account. The simple expedient of ID checks would avoid that.”
Source : European Commission fires warning at Facebook over fake news
“Those who are banned on Twitter, for example, can set up the same day with a new account. The simple expedient of ID checks would avoid that.”
Source : European Commission fires warning at Facebook over fake news
« Au forum économique mondial de Davos, en Suisse, la Chine a déplacé sa plus importante délégation de son histoire récente. Face aux États-Unis affaiblis et à une Europe déroutée, les nouveaux géants chinois plaident pour toujours plus de mondialisation ».
Source : À Davos, la Chine s’imagine en nouveau leader de la mondialisation heureuse – Politique – Numerama
David Plouffe est aussi respecté que craint. On dit de lui qu’il fut à l’origine de l’organisation militante qui mena Obama à la victoire en 2008. La campagne numérisée ? C’était lui. Il est désormais dans les plus hautes sphères de l’intrigante fondation Chan-Zuckerberg Initiative.
On est entré dans l’ère post-bistrot plutôt que post-vérité. Les réseaux sociaux ne changent que l’excitation et la résonance de la conversation publique. Ils ne font pas l’opinion, ils la cherchent pour la suivre. Ils rassemblent les mêmes sans risque d’un débat avec les autres. Ils ne démocratisent que séparément, chaque groupe pour lui-même. Ils n’influencent les choix politiques que lorsque ceux-ci sont près de vaciller.
Source : On est entré dans l’ère post-bistrot plutôt que post-vérité – Le Temps
Il s’agit «d’affaiblir l’immunité morale face à la propagande» ainsi que «réduire la confiance dans les sources du savoir» des sociétés occidentales. «Avec des médias traditionnels, les réseaux sociaux, des SMS et des trolls, la Russie, comme l’Etat islamique, tente de décrédibiliser les processus démocratiques», ajoute Janis Sarts. Dès 2011, l’analyste norvégien Tor Bukkvoll décrivait une «réponse technologique asymétrique» élaborée par Moscou après la prise de conscience d’un retard militaire trop important sur l’Occident. En 2006, Vladimir Poutine déclarait devant le parlement russe qu’il fallait penser les conflits en termes de «supériorité intellectuelle», de façon «asymétrique» et «moins coûteuse».
L’élection présidentielle française risque-t-elle d’être perturbée par des attaques informatiques ? Le risque est très concret, ont prévenu lors d’une conférence de presse, mercredi 21 décembre, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) et le secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN), auquel la première est rattachée.Des cyberattaques obéissant à des motifs politiques ont émergé cette année en France, a indiqué mercredi Guillaume Poupard, directeur général de l’Anssi. « Jusqu’ici les motivations évidentes étaient le renseignement économique, ça existe toujours », à un niveau qui ne faiblit pas avec une vingtaine d’attaques majeures cette année, « mais on voit des attaques dont le motif n’est pas économique ».
Source : Des attaques informatiques à visée politique envisageables en France
L’équipe, qui assure notamment son impartialité en s’interdisant de recruter des membres encartés dans un parti, malgré leurs talents potentiels, compte aussi occuper le terrain grâce aux 50 jeunes qui sillonneront la France en mars et en avril, pour animer des rencontres sur les campus, dans les lycées, les clubs de foot… L’équipe ne cherche pas à convaincre le public de voter à tout prix mais veut simplement transmettre un message clair aux 18-35 ans : « La politique, c’est nous ». Et ainsi leur permettre d’agir en conscience.
Dit autrement, au nom de la neutralité, Voxe recrute des personnes peu engagées en politique pour convaincre de s’engager en politique.
Cet exemple montre comment un simple militant peut fabriquer, légitimer et propager de fausses informations. Le tout derrière des sites apparemment anodins pour qui tombe par hasard sur un de leurs articles.
Source : « 93 % des Français prêts à voter Marine Le Pen » : itinéraire d’une intox d’extrême droite
« When Donald Trump swept to victory in the Electoral College on Nov. 8, perhaps no group was more surprised than journalists, who had largely bought into the polls showing Hillary Clinton was consistently several percentage points ahead in key swing states ».
Source : Journalists and Trump voters live in separate online bubbles, MIT analysis shows – VICE News
Project : Electome (MIT)
« Bref, on est dans une situation assez incroyable où des données obsolètes produisent des résultats qui ne correspondent pas à la réalité. Mais ce sont ces résultats qui servent aux décideurs politiques à définir leur politique énergétique pour les décennies à venir ».
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