Étiquette : moderation (Page 8 of 9)

«Nos règles ne correspondent pas au droit américain. L’exemple le plus parlant, ce sont les propos haineux. Ils sont légaux aux Etats-Unis. Mais nos règles sont beaucoup plus proches des normes européennes : nous n’autorisons pas les attaques contre les gens sur la base de leur genre ou de leur orientation sexuelle par exemple. Nos règles ne seront jamais juste américaines ou françaises mais doivent s’adapter au monde entier.
[…] Il y a certains domaines où la technologie est déjà très utile. Notamment dans le champ de l’image : il est facile pour une machine de reconnaître certains types de contenus comme des vidéos de décapitation ou de la pédopornographie. C’est beaucoup plus difficile pour du texte. Selon leur utilisation, les mêmes quatre mots peuvent être une attaque ou être totalement acceptables. C’est très dur pour nos outils automatiques de distinguer ces deux situations. Mais nous pensons y arriver. Actuellement, ils nous servent à repérer des contenus problématiques avant de les présenter à des modérateurs humains, qui prennent la décision. Cette dernière est ensuite incorporée à nos outils pour les améliorer».

Source : Facebook : la directrice de la politique des contenus explique les règles de modération

Facebook - Fake

«In its first quarterly Community Standards Enforcement Report, Facebook said the overwhelming majority of moderation action was against spam posts and fake accounts: it took action on 837m pieces of spam, and shut down a further 583m fake accounts on the site in the three months. But Facebook also moderated 2.5m pieces of hate speech, 1.9m pieces of terrorist propaganda, 3.4m pieces of graphic violence and 21m pieces of content featuring adult nudity and sexual activity».

Source : Facebook closed 583m fake accounts in first three months of 2018 | Technology | The Guardian

«Afficher des extraits de pages Wikipédia ne réglera sans doute pas ces enjeux plus larges. D’autant plus que ces « signaux d’information » (information cues) ne concernent pas ce que la plupart des experts considèrent être la source du problème : l’algorithme de recommandation. Ce dernier permet de suggérer à l’internaute des vidéos qu’il estime similaires à celle qu’il est en train de consulter et donc susceptibles de l’intéresser.Plusieurs experts, dont un ancien ingénieur de YouTube, estiment que l’objectif principal est de faire en sorte que les utilisateurs visionnent des vidéos le plus longtemps possible. Ce système favoriserait ainsi les vidéos les plus accrocheuses, notamment celles… sur les théories du complot et les fausses informations».

Source : Pour combattre le complotisme, YouTube fait appel à Wikipédia

«Par-delà la fiction collectivement admise que le harcèlement du web est pratiqué par des ados inconscients, des personnes qui n’oseraient dire à voix haute l’inanité de leurs commentaires, Philippe est ce roc imperturbable qui ne bouge pas. Quand tu as soixante ans, que tu fais ça pendant des années, tu es la preuve qu’il n’y a pas de profil type de harceleur».

Source : Le cyber-harceleur était un retraité – Pop culture – Numerama

«Une « erreur »…« Nous nous excusons pour cette erreur et avons indiqué à l’annonceur que nous approuvons son annonce », a déclaré auprès de l’AFP une porte-parole de Facebook. Facebook a souligné jeudi que sa « politique en matière de publicité ne permet pas la nudité ou la nudité suggérée ». « Mais nous faisons une exception pour les statues, et à ce titre cette annonce aurait dû être approuvée », a précisé la porte-parole».

Source : Facebook présente ses excuses après la censure d’une Vénus paléolithique

«Après la fusillade du lycée de Parkland, YouTube s’est retrouvé sous le feu des critiques, pour avoir laissé la vidéo conspirationniste d’Infowars en ligne, et qui plus est dans son onglet « tendances ». Le site s’en était expliqué, assurant dans un communiqué que le contenu en question avait été identifié à tort par un algorithme comme respectant les règles d’utilisation de la plate-forme».

Source : YouTube sanctionne une chaîne pour une vidéo conspirationniste sur la tuerie en Floride

«Ces violences affectent la santé et la vie sociale des victimes, avec la même gravité que les autres formes de violences faites aux femmes. Elles n’ont rien de virtuel. Elles sont pourtant largement tolérées. C’est ce dont témoigne un testing inédit mené par le HCE et ses partenaires en juillet 2017 sur les principaux réseaux sociaux (Facebook, Twitter et Youtube) : 92% des contenus sexistes signalés (insultes, menaces de viols ou incitation à la haine) n’ont pas été supprimés par les plateformes, avec des écarts : 87 % pour Facebook, 89 % pour Twitter et 100% pour Youtube».

Source : Violences faites aux femmes en ligne : le HCE appelle à une véritable prise de conscience et action des géants du web et des pouvoirs publics – Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes

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