“L’ancien vice-premier ministre va devoir faire oublier ses diatribes contre la façon dont Facebook esquive l’impôt, et sa critique des prétentions des réseaux sociaux à changer le monde en bien. « Je ne suis pas spécialement ébloui par Facebook, écrivait-il en 2016 dans l’Evening Standard. Je trouve un peu agaçante la culture messianique californienne de Facebook où tout le monde est ami. » Aujourd’hui, alors que Facebook est accusé d’avoir influencé les élections américaines et le référendum sur le Brexit, Nick Clegg affirme son désir de s’attaquer aux immenses défis des réseaux sociaux que sont notamment « le contrôle sur les données personnelles, l’intégrité de notre processus démocratique, les tensions entre l’Internet mondial et les institutions nationales, l’équilibre entre la libre expression et les contenus illégaux ». Après avoir codirigé un pays, le voilà engagé pour « construire des ponts entre la politique et la technologie afin que cette dernière puisse se mettre au service du progrès et de l’opt”
Source : Nick Clegg, du service de Sa Majesté à celui de Facebook