Auteur/autrice : noflux (Page 74 of 621)

Google Amnesty Surveillance

“Nous avons déjà constaté que la vaste architecture publicitaire de Google et Facebook est une arme puissante entre de mauvaises mains. Elle peut être détournée à des fins politiques, au risque de conséquences désastreuses pour la société, et laisse le champ libre à toutes sortes de nouvelles stratégies publicitaires aux relents d’exploitation, comme le fait de s’en prendre à des personnes vulnérables qui luttent contre la maladie, les troubles mentaux ou l’addiction. Parce que ces publicités sont faites sur mesure pour des individus, elles échappent à l’examen public”

Source : La surveillance intrusive exercée par Facebook et Google : un danger sans précédent pour les droits humains | Amnesty International

« Il y a une vraie crainte de la sophistication et de la détermination des algorithmes. Pour ma part, je suis dubitative sur ces deux aspects. Les logiques algorithmiques sont bien moins sophistiquées que les logiques sociales. L’appariement entre les partenaires est plus le résultat de logiques de sélections sociales mises en oeuvre par les individus que par les algorithmes. Les algorithmes présélectionnent des personnes, mais ces paramètres sont bien moins déterminants que ceux que les gens mettent en oeuvre pour choisir. Pour juger quelqu’un depuis un très court texte ou une simple image, nous sommes bien plus efficaces qu’un algorithme ! » – Marie Bergström

Source : Les logiques algorithmiques de la rencontre en ligne sont moins sophistiquées que les logiques sociales | InternetActu.net

“L’objectif : créer, en deux semaines, un Web alternatif qui puisse tenir sur une clé USB d’1 giga. Il raconte : « On a tout déconstruit, et listé ce à quoi ils tenaient dans le Web : à Wikipédia, à la communication, aux mèmes… Chacun se répartit une des fonctions du web et ils recréent leurs services à eux. Les étudiants aiment YouTube, pas pour YouTube en lui-même mais pour la connaissance qu’ils y trouvent. Cela pose aussi des questions de gouvernance : puisqu’on ne peut pas tout faire tenir sur 1 Go, faut-il faire sortir un service pour en laisser entrer un autre ? Déterminer une durée de vie pour un site ? ». Les étudiants vont fabriquer leur propre serveur avec un Rasberry Pi, et l’alimenter avec un panneau solaire. « Comme ça, la nuit, notre web n’est plus accessible et il revient le lendemain matin (c’est aussi le cas du site du Low-Tech Magazine, ndlr). On va s’amuser avec des contraintes. »”

Source : Internet est mort, vive l’internet low-tech ?

“To put that in context, researchers at Nvidia, the company that makes the specialised GPU processors now used in most machine-learning systems, came up with a massive natural-language model that was 24 times bigger than its predecessor and yet was only 34% better at its learning task. But here’s the really interesting bit. Training the final model took 512 V100 GPUs running continuously for 9.2 days. “Given the power requirements per card,” wrote one expert, “a back of the envelope estimate put the amount of energy used to train this model at over 3x the yearly energy consumption of the average American.” You don’t have to be Einstein to realise that machine learning can’t continue on its present path, especially given the industry’s frenetic assurances that tech giants are heading for an “AI everywhere” future.”

Source : Can the planet really afford the exorbitant power demands of machine learning? | John Naughton | Opinion | The Guardian

“Le CHU a, en tout cas, fortement pâti de cet épisode. Tout le système informatique a dû être arrêté, et le personnel est repassé « à la bonne vieille méthode du papier et du crayon », selon les propos de Rémi Heym, directeur de la communication du CHU, recueillis par l’Agence France-Presse. « Cela a entraîné des délais très longs de prise en charge, même s’il n’y a pas eu de mise en péril de la santé des personnes hospitalisées. » Depuis l’épisode du rançongiciel WannaCry en 2017, les hôpitaux français, et plus largement le secteur de la santé, inquiètent les autorités spécialisées. Les établissements de santé conjuguent en effet un triple facteur de risque : des moyens parfois limités consacrés à la sécurité informatique ; des données extrêmement précieuses, dont les pirates savent qu’ils peuvent exiger le prix fort pour en restaurer l’accès ; et de nombreux appareils médicaux, de plus en plus connectés et pas forcément sécurisés.”

Source : Attaque informatique au CHU de Rouen : une enquête ouverte

“Starting today, we’re expanding our test of private like counts globally. If you’re in the test, you’ll no longer see the total number of likes and views on photos and videos posted to Feed unless they’re your own.”

Ethos Capital

“En clair, PIR est maintenant en mesure de facturer les domaines en « .org » à sa guise. Or, voilà où le bât blesse. Même si l’Internet Society se dit convaincu que PIR va conserver l’objectif de garder le domaine « accessible et à un prix raisonnable », « tout en renforçant et approfondissant davantage son engagement envers la communauté », le fait est que c’est maintenant un organisme à but lucratif qui pilote in fine PIR. Or, l’appréciation d’un organisme sans but lucratif sur ce qu’est un « prix raisonnable » est sans doute assez différente de celle d’une société qui cherche à faire des profits.”

Source : « .org » : l’un des plus vieux domaines du web en danger ? – Tech – Numerama

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“Il faut se souvenir que l’entreprise a pu lever 3,5 milliards de dollars en 2016 — à une époque où Dara Khosrowshahi n’était pas encore en poste — auprès du fonds souverain de l’Arabie Saoudite. Par ailleurs, au sein de son conseil d’administration figure Yasir Al-Rumayyan, le directeur général de ce fameux fonds souverain. Axios ajoute que l’Arabie saoudite est aujourd’hui le cinquième plus gros actionnaire d’Uber. Selon Business Insider, ce fonds détient environ 73 millions d’actions, soit 4 % de l’entreprise. CNN place par contre ce fonds en quatrième position, avec 5,4 % de la société. À l’époque, l’investissement saoudien dans Uber avait été abondamment commenté et critiqué, puisqu’il vient d’un pays qui interdisait encore il y a peu aux femmes de conduire, ce qui était d’une certaine façon une aubaine pour Uber : d’ailleurs, il était noté que 80 % des clients d’Uber en Arabie saoudite sont en fait des clientes. Selon Uber, son service opère à Riyad et Djeddah.”

Source : La faute du patron d’Uber sur Jamal Khashoggi, révélatrice du malaise de la Silicon Valley avec l’Arabie saoudite – Société – Numerama

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“Cinq ans après le lancement d’Uber à Genève, les autorités du canton l’ont sommé de respecter la loi. Le conseiller d’Etat Mauro Poggia a envoyé mardi un courrier à un avocat de la multinationale en Suisse, Me Rayan Houdrouge, de l’étude Lenz et Staehelin. «Une injonction de se mettre en règle», selon Mauro Poggia. Le magistrat voit un lien de subordination entre les chauffeurs et Uber. Il estime que ce dernier est davantage un transporteur qu’un diffuseur de courses, au sens de la loi sur les taxis et voitures de transport avec chauffeur (LTVTC), un statut qui l’oblige à traiter les chauffeurs utilisant l’application comme ses employés. «Uber doit payer des salaires et s’acquitter de charges sociales, ce qu’il ne fait pas», selon Mauro Poggia.”

Source : Genève somme Uber de se plier à la loi – Le Temps

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