Je crois que le problème est là : se contenter de quantifier une réalité sociale dont le sens ne peut pourtant se déduire uniquement de ces traces d’usage. Cette dérive quantitativiste qui est assez évidente outre-Atlantique nous invite, me semble-t-il, a méditer ce que rappelait Gaston Bachelard, à savoir qu’il faut réfléchir pour mesurer et non pas mesurer pour réfléchir.