En étant cruel, on pourrait regarder les volumes blancs de l’Encyclopédie Universalis comme les restes d’un monde où l’on n’avait que le livre pour diffuser le savoir, les témoins d’un magnifique accident de l’Histoire humaine.
En étant cruel, on pourrait regarder les volumes blancs de l’Encyclopédie Universalis comme les restes d’un monde où l’on n’avait que le livre pour diffuser le savoir, les témoins d’un magnifique accident de l’Histoire humaine.
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