Six associations et syndicats du secteur ont demandé, vendredi 27 juin, à la justice la suppression du site Internet d’Ornikar, une start-up qui souhaite proposer une alternative moins coûteuse aux auto-écoles classiques. Le tribunal de commerce a, mercredi 9 juin, débouté les plaignants, estimant que l’activité d’Ornikar ne constituait pas un trouble manifestement illicite.