Avec ce maigre avantage concurrentiel (qui ne fera surtout que pénaliser ceux qui n’ont pas la possibilité de trouver ou de commander leurs livres dans un commerce de proximité), le Gouvernement et les parlementaires espèrent apaiser la crainte qu’ont les libraires de disparaître sous le poids d’un Amazon dont le nom aura été sans cesse cité pendant les débats.