Dit autrement, si Capcom reconnait l’un de ses jeux dans votre vidéo, ou même un effet audio lui appartenant, l’éditeur a désormais la possibilité de revendiquer la totalité de la paternité du contenu – et donc de capter l’intégralité des revenus générés par celui-ci. Une décision qui a provoqué une levée de boucliers parmi les vidéastes amateurs, ou “Youtubers”, lesquels recevaient jusqu’ici tout ou partie de cet argent – de quelques centimes à plusieurs centaines d’euros par mois.