Mois : novembre 2013 (Page 7 of 12)

As Twitter Inc. prepares to make its stock-market debut, a fundamental question looms: Can the messaging service turn its army of followers into a moneymaking business? Although the service and its 140-character messages has become part of popular culture, many marketers still view Twitter as experimental. It doesn’t have enough scale for some marketers, and some advertisers want more information about Twitter’s users and more proof that ads on the service work.

So this is it. Google’s revised offer to settle the European Commission probe into its search business has been described extensively in the press. But the actual text and screenshots of how new Google searches will look under the proposal were not published, much to the annoyance of the complainants asked for confidential feedback. One of the parties has decided to revolt and set the documents free. We’re publishing them here in full.

M. Stéphane Saint-André attire l’attention de Mme la garde des sceaux, ministre de la justice, sur les dérives d’internet. Les blogs qui fleurissent sur le web sont considérés par la loi comme des organes de presse et à ce titre sont régis par la loi du 29 juillet 1881. L’article 65 dispose que l’action publique et l’action civile résultant de crimes, délits et contraventions prévus par la loi se prescriront après trois mois révolus, à compter du jour où ils auront été commis. Quand un article diffamatoire paraît dans la presse comme dans un blog il est toujours possible d’obtenir un droit de réponse même si, dans les faits, cela se révèle compliqué. L’article une fois paru sur un support papier finira à la poubelle. Par contre l’article paru sur un blog y restera indéfiniment, passé le délai de prescription. Il lui demande en conséquence si les délais de prescription en matière de parution diffamatoire sur un blog peuvent être allongés.

Unfortunately we live in a world where all too often, laws are for the little people. Nobody at GCHQ or the NSA will ever stand before a judge and answer for this industrial-scale subversion of the judicial process. In the absence of working law enforcement, we therefore do what internet engineers have always done – build more secure software. The traffic shown in the slides below is now all encrypted and the work the NSA/GCHQ staff did on understanding it, ruined.

Combien de morts par actions terroristes sommes-nous prêts à accepter pour préserver un modèle de société où la vie privée existe encore ? Zéro, ce qui impose d’être tous surveillés ? Autant qu’il en coûtera ? Où placer le curseur ? Or cette question-là, fondamentale s’il en est, n’est jamais posée. Tout est comme si la réponse devait, nécessairement, évidemment, être “zéro”. La société actuelle refuse d’accepter le risque de tout ce qui ne lui semble pas relever de la fatalité. Elle s’obsède des 2 292 morts des attentats du 11 septembre 2001, en se disant “plus jamais ça”, quoi qu’il en coûte en abandon des valeurs de la société attaquée par les terroristes, et a déjà oublié les 250 000 morts du tsunami de 2004 en Asie, en acceptant qu’elle n’y peut rien. Or “pouvoir” faire quelque chose n’impose pas de “devoir” faire quelque chose, ou en tout cas, la fin ne justifie pas tous les moyens. Peut-être faut-il accepter un degré de fatalité même dans les comportements humains que l’on pense pouvoir contrôler.

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