Après le prestigieux quotidien qui, le 30 janvier, avait révélé avoir été visé pendant quatre mois par des hackers chinois peut-être liés au gouvernement, le Wall Street Journal, puis Twitter et le Washington Post, ont reconnu avoir été victimes d’agressions semblables. A chaque fois, les autorités chinoises – à commencer par le ministère de la défense nationale, mis en cause par le New York Times – ont vigoureusement réfuté les accusations.