Les super-ordinateurs des plus grands acteurs du “cloud”, comme Amazon ou Google, sont tous situés à l’étranger. Notamment aux Etats-Unis, où ils tombent sous le coup du “Patriot Act”, une loi qui permet au gouvernement américain de consulter n’importe quelle donnée s’il l’estime sensible. Alors que seulement 10 % des entreprises nationales auraient recours à l’informatique en nuage pour l’instant, un “cloud français” pourrait, selon un observateur du secteur, les rassurer et faire décoller le marché.