En 2006, une étude de l’office fédéral de police criminelle allemand (BKA) avait estimé, en 2007, que le taux d’élucidation était passé de 55% à 55,006%, grâce à l’exploitation des données de trafic, soit un taux de progression de 0,011%… ce qui fait dire au groupe de travail du Parlement allemand sur la conservation des données que celle-ci complètement “disproportionnée” quant à sa finalité